Que penser du secteur du textile marocain ?
Faut il miser dessus ? Est il en déclin ?
Le secteur du textile marocain se lance des défis.
Les pays du pourtour de la Méditerranée font actuellement face à de nouveaux défis en termes de libéralisation de plus en plus croissante des échanges et de globalisation en matière de besoins évidents d’informations pertinentes du marché compte tenu de la rapidité et de la constance de l’évolution des conditions de l’offre et de la demande. Le marché du textile marocain en est la parfaite illustration.Comment se présente les défis actuels du marché du textile marocain ?
D’une manière générale, le marché du textile habillement marocain a pour défi l’internalisation. source Les producteurs et consommateurs se dispersent à travers le monde entier et la grande distribution commence à supplanter l’industrie afin de se positionner en tant que leader des donneurs d’ordre. La concurrence est souvent rude car les contrats de sous-traitance sont parfois de courte durée et seuls les meilleurs peuvent survivre assez longtemps. Cela est notamment due au fait que le secteur textile marocain exporte peu pour ne couvrir que de faible besoins locaux. C’est un paradoxe entre les industries d’une économie capitaliste et d’une activité de main d’œuvre.
D’autant plus que les importations européennes se concentrent sur l’habillement et que ces activités exportent dans la confection et la bonneterie, explique Cedric
Quelles sont les perspectives du secteur textile marocain sur ces défis ?
A première vue, le textile marocain fait face à un grand défi d’investissement et d’adaptation à l’économie de marché internationale. En effet, l’Europe, principal importateur du secteur, voudrait faire moins de tee-shirt et exporter plus de produits industriels. Dans ce cas hypothétique, il y a grand besoin de se démarquer en innovant incluent la technologie de pointe afin de susciter une production qui peut rivaliser à la fois sur la qualité et le prix envers la concurrence.Textiles - industrie de l'habillement emploie près de 175 000 personnes au Maroc. Il est le premier employeur industriel du pays avec 40% des emplois industriels nationaux. Le secteur contribue également à 24% des exportations marocaines de marchandises et jusqu'à 7% du PIB national.
- Chiffre d'affaires à l'exportation du textile marocain 29,3 milliards de dirhams en 2013 -
- CA marché local estimé à 45 milliards de dirhams
• Sous-traitance: 600 millions de pièces;
• Co-traitance: 300 millions de pièces;
• Nettoyer les collections de 100 millions de pièces.
Un certain nombre d'avantages, notamment:
• Un cadre global incitatif: Un développement de plan concret du secteur textile marocain prévoit un système d'incitation, y compris un ensemble de mesures incitatives pour impôt à l'investissement, des mesures financières, juridiques et sociales, un vaste réseau d'accords de libre-échange avec l'Union européenne, Etats-Unis d'Amérique et le monde arabe, donnant accès à un marché de plus d'un milliard de consommateurs.• Une plate-forme pour l'investissement: le gouvernement marocain offre aux investisseurs très avantageuses plates-formes d'investissement industriel "P2I."
• Réactivité de production: Avec les producteurs locaux de matières premières, et la mise en œuvre future de plates-formes de passation des marchés, le Maroc peut réduire le délai de livraison de deux semaines pour l'Europe (un cycle entre 2 et 4 semaines - 50% moins de temps que le cycle normal).
- • La réactivité de la livraison: La proximité géographique des marchés européens, un port «Tanger Med» qui permet au secteur textile marocain à être plus réactif, grâce à:
- • Un espace libre en moins de 1 heure
- • Un couloir dédié aux joueurs de textiles
- • Une augmentation de la capacité de rotation des navires opérant dans le port (6-8 matchs par jour)
- • Un ouvert uniquement au transport de camion dédié (RORO) de compagnies maritimes
- • Grande capacité: une grande capacité de production dans le secteur, estimée à plus d'un milliard de pièces par an; un secteur qui fonctionne depuis 50 ans avec les marchés européens et américains, les instituts de formation assurant l'amélioration continue des compétences permettant aux entreprises du secteur de bénéficier d'une main-d'œuvre qualifiée et des profils pointus des designers, stylistes et ingénieurs; développement des compétences est au cœur de la stratégie de secteur: formation prévue 2.000 ingénieurs et 30 000 opérateurs en 2015
- Bonne organisation du secteur: une organisation autour d'une association professionnelle "AMITH", qui compte parmi ses membres plus de 90% des entreprises exportatrices dans le secteur, la facilité de communication et d'interaction avec les entrepreneurs et les investisseurs internationaux
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