Les affaires d'espionnage industriel
Plusieurs affaires d’espionnage ont marqué l’industrie en particulier le secteur automobile ces dernières années.
Récement l'affaire Renault est en train de faire ressortir les tensions franco chinoises. On accuse la Chine de vouloir copier la technologie Renault concernant les voitures électriques.
Un scandale qui bouleverse la France et entraine les fureurs du gouvernement chinois.
Chez Valeo, une stagiaire chinoise de l’université a été condamnée en décembre 2007 à 1an de prison, dont 2 mois ferme, pour avoir copié des documents concernant les projets industriels du groupe en Chine, lors d’un stage dans l’entreprise, en 2005. Pour sa défense, elle avait expliqué ne pas avoir compris à l’époque le sens du mot « confidentialité ».
Chez Michelin, un ingénieur démissionnaire était allé proposer en 2007 au concurrent Bridgestone des documents sur de nouveaux pneus poids lourds, moyennant environ 115 000 €. Mais le groupe japonais avait aussitôt prévenu Michelin. L’ingénieur a été condamné pour abus de confiance à deux ans de prison avec sursis, 5 000 € d’amende et 10 000 € de dommages et intérêts à verser à Michelin. Mais l’accusation d’espionnage n’a pas été retenue par les juges.
Dans l’aéronautique et la pharmacie feraient régulièrement l’objet de problèmes d’espionnage. Dans le cadre du projet sur la sécurité intérieure, actuellement en discussion, il est à l’initiative d’un amendement visant à protéger le « secret des affaires » des entreprises, qui ne se limiterait pas aux seuls brevets.
Chez Valeo, une stagiaire chinoise de l’université a été condamnée en décembre 2007 à 1an de prison, dont 2 mois ferme, pour avoir copié des documents concernant les projets industriels du groupe en Chine, lors d’un stage dans l’entreprise, en 2005. Pour sa défense, elle avait expliqué ne pas avoir compris à l’époque le sens du mot « confidentialité ».
Chez Michelin, un ingénieur démissionnaire était allé proposer en 2007 au concurrent Bridgestone des documents sur de nouveaux pneus poids lourds, moyennant environ 115 000 €. Mais le groupe japonais avait aussitôt prévenu Michelin. L’ingénieur a été condamné pour abus de confiance à deux ans de prison avec sursis, 5 000 € d’amende et 10 000 € de dommages et intérêts à verser à Michelin. Mais l’accusation d’espionnage n’a pas été retenue par les juges.
Dans l’aéronautique et la pharmacie feraient régulièrement l’objet de problèmes d’espionnage. Dans le cadre du projet sur la sécurité intérieure, actuellement en discussion, il est à l’initiative d’un amendement visant à protéger le « secret des affaires » des entreprises, qui ne se limiterait pas aux seuls brevets.
Il est nécessaire pour nous de protéger nos brevets et nos inovations.
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